Un texte lu

J’écris comme et j’écris moi je sais. Ça écrit comme toi et c’est ton corps devant moi. Ou alors c’est le rythme, le pâte-dire, le coup-de-mot oui ça ça dit quelque chose. Dire c’est ça on ne peut plus pas encore loin la bride non le langue. La frontière c’est le tank-mot, c’est les deux-points circonscrits le fléchir-tombe. Ça te redessus te retombe le circonflexe antérieur. Vas-y au bout de l’ombre c’est jusqu’au cœur sur la route fourbe frêle fais-le ça. Fonce et comme ça je crois vas-y. Le cœur enfant-phrase ça te sourire. Point-virgule il y a de la viande dans chaque lettre, c’est pas laid ça c’est beau c’est pas vide dit le rouge rythme. C’est le sonar. Oui écoute ça te je veux c’est le dire non subjonctif. Non là hop je l’ai dit c’est langue à ça redis-le-il. Ah c’est antérieur à l’os : pas de pensée échantillonnée, pas sous les mots la pensée monde, ça oui je suis nu je frotte l’espace. Je ne vrai me ris. D’accord la phrase c’est vas-y le mot-mot c’est le mot-monde c’est le vas-y revient ça te signifie le mot. Le mort le mot-mort la pâte-sens le monde-mot la ponctuation ça te revient moi la souche-son. L’univers je eh euh. Mais eh j’ai. Euh le monde ah. Mais le mot a tronc. Le mot te râpe ça ne ah nous coeur l’ordre mort tue le son-son-monde. Ça c’est vrai qu’on conjugue. Eh ah c’est ça ai et c’est vrai. Les mots c’est le monde. Les mots c’est le sens dont le son ah eh euh feu l’enfant est. Eh mais puisque ah j’ai mot n’ai usé chose. Eh car j’ai l’eu mais le mot-chose sans son l’enfant est les mots morts. Je n’écris. J’ai règle-armure.

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